lundi 11 février 2013

RENDRE AU MALI SA SOUVERAINETÉ

36e congrès du PCF - Issa Ndiaye Mouvemement populaire du 22 mars - Vidéo Dailymotion



LETTRE D'ISSA NDIAYE AU PCF








Adresse au 36ème du Parti Communiste Français

Chers camarades de France
Chers invités du monde

Le Mali est en guerre, une guerre dont nous ne voulons pas mais qui nous a été imposée essentiellement par des forces étrangères à notre pays. Il s’agit d’une immense tragédie pour notre peuple. Nous savons qu’elle n’en est malheureusement qu’à ses débuts. Nul ne sait quand elle prendra fin.

Nous savons qu’il y a entre vous, amis du Mali de France, tout comme entre camarades maliens, de nombreux et difficiles débats à ce sujet. Les communistes français et surtout le peuple français ont été des amis de toujours du Mali. Combattre l’avancée des djihadistes vers le sud a provoqué chez vous beaucoup de débats, des interrogations. Mais sachez qu’il en est de même chez nous, au Mali. Nous avons les mêmes débats, les mêmes interrogations, les mêmes inquiétudes.

Dans un premier temps, nos populations étaient très en colère parce que tout se décidait en dehors d’elles, en dehors du Mali. Nous nous sommes sentis humiliés et révoltés par tant de mépris. Nous savions que toutes les décisions se prenaient à Paris, à Abidjan, à Ouagadougou et ailleurs, jamais à Bamako et cela continue toujours. Cela est inacceptable. Et nous avons apprécié les voix qui nous ont soutenus contre ces atteintes graves à notre souveraineté en tant que pays, en tant que peuple concerné au premier chef par ce qui nous arrive de par le complot tramé contre notre peuple avec la bénédiction de certains de ses fils et de ses dirigeants. Nous étions et restons confrontés à une dure réalité, à un piège mortel qui se renfermait sur nous. Nous sommes des militants qui détestons la guerre, surtout celle-là qui nous est imposée aujourd’hui et à un moment où nous avons été affaiblis et désarmés pendant deux décennies par un régime corrompu, présenté à tort comme une démocratie exemplaire alors qu’il n’en était rien. Cela faisait partie de la mise en scène orchestrée par les tuteurs occidentaux des démocraties africaines.
Face à l’avancée brutale des djihadistes, sans intervention extérieure, nous risquions d’être complètement anéantis. Nous n’avions plus le choix devant l’imminence du danger. L’intervention militaire française a été alors ressentie comme un soulagement par nos populations, même si nous étions contre par principe, même si elle ne règle pas les questions fondamentales et pose problème quant à ses fins ultimes.

Camarades de France et du Monde,
le 36ème Congrès du Parti Communiste Français intervient à un moment de crise généralisée du capitalisme mondialisée qui génère des tragédies un peu partout dans le monde.
En France, en Europe et ailleurs, elle a causé bien de drames qui font payer lourdement aux travailleurs les conséquences des politiques qu’ils n’ont jamais cautionnées. Un peu partout dans le monde et surtout en Afrique, les conséquences des politiques prédatrices du FMI et de la Banque Mondiale ont occasionné des guerres imposées aux populations traumatisées face aux incertitudes du lendemain. La crise au Sahel et la guerre actuelle dans le nord du Mali en est la triste illustration. Une lecture simpliste la dépeint comme un simple affrontement, un "choc entre civilisations" et une "lutte contre le terrorisme transnational islamiste" imposant à l’occasion une causalité unique, une vision dualiste du monde nourricière d’encore plus de violences.
Le drame actuel au Sahel et ses conséquences au Mali ne sauraient être appréhendés sans l’éclairage géopolitique et géostratégique des convoitises que suscitent les immenses ressources de son sous-sol auprès des multinationales occidentales notamment françaises en ce qui concerne le pétrole et l’uranium entre autres. Telle est la trame véritable de la guerre actuelle imposée au Mali par les "fous d’Allah" et les "fous du Saint Profit" au nom de la Charia, des trafics de drogue et d’otages, au nom du pétrole, de l’uranium et du Capital. 

Si l’intervention française au Mali a été momentanément saluée par la grande majorité des populations maliennes désarçonnées par l’avancée brutale des djihadistes vers le sud, l’arrêt tout aussi brutal de la reconquête du territoire national par l’armée malienne, aux portes mêmes de Kidal, suscite bien des interrogations sur les arrières pensées, les non-dits de cette intervention. Les chaudes déclarations d’amitié des autorités françaises à l’égard de certains touaregs, l’alliance de fait avec la rébellion ultra minoritaire du MLNA non représentative de l’écrasante majorité des communautés touaregs tout aussi opposées à la guerre et à la partition du pays, l’accompagnement militaire imposant par l’armée tchadienne des armées françaises, nous imposent davantage de circonspection quant aux affirmations de désintéressement de la France. Ce qui se trame aujourd’hui à Kidal finira certainement par déchirer les voiles de l’hypocrisie et du mensonge quant aux visées réelles des interventions étrangères au Mali, qu'elles soient françaises, européennes, africaines ou sous mandat de l’ONU.

L’intervention au Nord Mali ne vise pas seulement la sécurisation des approvisionnements énergétiques et autres des puissances occidentales, notamment de la France. Du même coup, elle remet en selle et réconforte un régime, des institutions, des hommes et des femmes, un système politique et une démocratie totalement corrompus et impopulaires et qui ont une responsabilité lourde dans le désastre dont aujourd’hui notre peuple est victime.
L’insistance avec laquelle le recours aux élections dans les délais les plus rapides est exigé par les occidentaux témoigne beaucoup plus de leur impatience à donner un vernis de légitimité à des élites prédatrices à leur solde. La question de la faillite même de l’Etat malien, la nécessité de son assainissement et de sa reconstruction sur des bases populaires et réellement démocratiques ne sont point inscrites dans la feuille de route de la Transition qui nous est dictée. La création d’une force d’interposition africaine puis sous mandat onusien finira par boucler la boucle de l’ordre ultra libéral d’accès total aux richesses du sous-sol malien que l’on veut imposer aux peuples du Mali, d’Afrique et d’ailleurs.
Comment ne pas comprendre alors que la guerre au Mali n’est que le prolongement de la compétition féroce entre deux impérialismes alliés par ailleurs aujourd’hui en Lybie et en Syrie, l’un classique et aux abois, occidental, et l’autre nouveau et conquérant, celui de l’impérialisme arabo-salafiste incarné par les pétro-monarchies du Golfe comme le Qatar et l’Arabie saoudite, fossoyeurs des libertés de leur propre peuple et bailleurs de fonds des économies occidentales en perdition.
Par ailleurs, on parle du Mali, on prétend venir à son secours, mais on refuse en même temps la parole à son peuple, le libre choix de ses populations pour décider en toute souveraineté de leur propre destin.

Camarades de France et du monde,
les relations de solidarité et de fraternité entre le Parti Communiste Français et les forces de gauche en France et au Mali ne datent pas d’aujourd’hui. Elles sont restées constantes et ne se mesurent point en nombre de barils de pétrole et de tonnes d’uranium extraits ou à extraire du sous-sol malien.
Je voudrais, à cette occasion, exprimer à l’endroit du Parti Communiste Français et du Front de Gauche toute la reconnaissance des forces patriotiques maliennes organisées au sein du Mouvement populaire du 22 Mars (MP 22) et de la Coordination des Organisations Patriotiques du Mali (COPAM) et, au-delà, pour leur soutien constant et multiforme, solidaire des mêmes visions et des mêmes espérances que nous nourrissons pour l’Humain en Europe comme en Afrique et partout dans le monde.
Nous avons les mêmes défis à relever, le même combat à mener en Europe, en Afrique, en Amérique latine, en Asie et partout ailleurs. Nous avons face au Capital le même destin. Nous devons tisser une solidarité de combats entre peuples du Nord et du Sud, entre femmes et hommes, entre jeunes et vieux, entre Humains.

Des coopérations et des solidarités concrètes sont à construire. Je pense aux coopérations entre villes à renforcer, entre jeunes, entre les établissements scolaires et universitaires, associations de femmes, intellectuels, clubs sportifs, artistes, couches sociales et professionnelles. Nous avons besoin aussi de solidarités politiques et nous vous remercions d’avoir entendu nos colères et nos volontés de souveraineté, perçu et partagé nos évolutions face aux dures réalités. Merci de continuer ensemble !

Je voudrais, en guise de conclusion, évoquer devant vous une complainte, celle de «Tinèni» ("la petite carpe" en langue bamanan), tirée d’un conte du terroir malien. Un jour, au cours d’une rencontre générale entre tous les êtres, chaque créature essaya d’écrire le drame de sa condition. Quand vint le tour de «Tinèni», elle évoqua, les larmes aux yeux, la tragédie qui était la sienne. Elle décrivit le monde comme une jungle où les plus forts dévoraient les plus faibles en toute impunité. Son destin à elle n’était pas seulement de finir en friture. Le plus cruel vient, dit-elle, quand une fois frite, on la prend par la queue pour la croquer par la tête à belles dents, en la fixant droit les yeux dans les yeux.
Il nous faut en finir au Mali, en Afrique et ailleurs avec le destin des «Tinèni». En France, au Mali, en Palestine, au Kurdistan, en Amérique latine, en Asie, en Europe et partout dans le monde, les peuples doivent se donner la main pour construire ensemble des alternatives populaires aux camisoles de force imposées ici et là par les puissances d’argent.
Le chemin de la paix et de la solidarité est long et difficile. Pour y parvenir, il nous faut réinventer l’avenir.
Alors pour cela osons ensemble "rallumer les étoiles".
Plein succès au 36ème Congrès du Parti Communiste Français.
Je vous remercie
Paris le 09 Février 2013
Pr Issa N’DIAYE


issandiaye_flash@yahoo.fr





Arrêter l’engrenage
d’une logique guerrière







À nouveau, un pays d’Afrique est entraîné dans une logique de guerre
Le Front de gauche partage l’inquiétude des Maliens face à l’offensive des groupes djihadistes, et comprend qu’ils se sentent soulagés par toute action pouvant empêcher leur progression. Depuis plusieurs mois, les exactions et exécutions sommaires pratiquées par ces groupes dans les zones qu’ils contrôlent au nord du pays illustrent le danger qu’ils représentent pour les libertés et la dignité du peuple malien et sa souveraineté.
Le président de la République a décidé d’engager l’armée française.

Risque de déstabilisation
Mais cette intervention montre désormais le risque d’un engrenage dans une guerre sans fin prévisible, et sans véritable solution durable pour le peuple malien et la reconstruction du pays. Le risque est grand d'une déstabilisation de toute la région, comme on l'a vu en Algérie avec la prise d’otages et son dénouement tragiques.

Défaut démocratique
Elle a été décidée unilatéralement, sans respect des règles fixées par l’ONU qui établissait qu’elle devait obtenir par avance l’approbation du Conseil de Sécurité de l’ONU, et être menée par des troupes de l’Union Africaine, dans les limites imposée par l’exigence de la souveraineté malienne.
Elle a été décidée par la Présidence française sans consultation du Parlement, et ses objectifs stratégiques n’ont pas été définis, contrairement aux engagements pris par le candidat François Hollande.
Elle ne se limite pas à des frappes aériennes, mais engage au sol des milliers de soldats de l’armée française, qui visent désormais à reconquérir et à occuper le Nord du Mali, outrepassant tout mandat.

Coût
Elle est engagée alors que le gouvernement assume une politique d’austérité, qui réduit les dépenses dans tous les secteurs, mais n’hésite pas devant les coûts extraordinaires d’une guerre qui va s’installer dans la durée. Un argent qui serait plus utile dans l’aide à la coopération en Afrique, alors que celle-ci est sans cesse en diminution.

Pour quels intérêts
Elle se déroule dans une région riche en pétrole, en minerais stratégiques, en uranium, que les grandes puissances cherchent à obtenir à bas coûts, privant les pays de leur souveraineté sur leurs ressources naturelles.
C’est notamment le cas de la France qui, dans la région du Sahel, vise à contrôler l’extraction de l’uranium avec AREVA.
Elle se tient dans une ancienne colonie française, et suscitera une réaction contre elle car rappelant les pratiques dominatrices de la Françafrique qui ont amenées à affaiblir les états et la démocratie dans le région. Et elle redonne un soutien aux régimes des pays voisins pourtant rejetés par leurs peuples et leurs oppositions démocratiques.
François Hollande, lors de sa première visite en Afrique en novembre dernier, répétait : «En aucun cas, la France n’interviendra elle même au Mali».

Le Front de Gauche exige une clarification des objectifs stratégiques, avec un débat public transparent et
un vote au Parlementmaintenant et non «dans quatre mois» comme l’a annoncé François Hollande.

Le Front de Gauche demande que soit mis fin à l’envoi de troupes françaises au sol visant la reconquête du Nord du Mali.
Toute interposition africaine doit être placée sous mandat de l'ONU. La question de l’intégrité du territoire malien doit être du ressort des forces maliennes. Sa reconquête ne doit pas pour autant entraîner des exactions en retour contre les populations du nord du pays, Arabes ou Touaregs, abusivement amalgamées aux «terroristes».

Les solutions politiques doivent primer sur les logiques guerrières. La restauration de la souveraineté territoriale du pays doit aller de pair avec la reconstruction d’un Etat, d’une démocratie, d’une souveraineté sur les ressources naturelles, une renégociation des droits du peuple Touareg, un processus national constituant impliquant le peuple malien lui-même.

Le Front de Gauche défend et appelle à une autre politique de la France avec l’Afrique, rompant avec les politiques de domination et d’interventions militaires répétées qui n’ont abouti qu’à alourdir sur le dos des peuples africains le fardeau de la mondialisation libérale et des politiques d’ajustement structurels imposées par le FMI et les grandes puissances.

Le Front de Gauche apporte son soutien au peuple malien, et appelle à la solidarité des peuples face aux épreuves qu’il traverse.

Le 29 janvier 2013
Collectif Afrique du Front de Gauche

dimanche 13 mai 2012

LISTE D’APPUI POUR SOUTENIR LAETITIA SUCHECKI, CANDIDATE DU FRONT DE GAUCHE


Signez  la liste d’appui à Laetitia SUCHECKI


En tant que Français établis ou avec des liens étroits avec les pays d’Afrique du Nord et de l’Ouest,
En tant que binationaux issus de la 9ème circonscription, établis en France ou résidant dans la circonscription,
En tant qu’universitaires, écrivains, artistes, dirigeants de mouvements politiques ou sociaux, citoyens d’Afrique du Nord, d’Afrique sub-saharienne et de France,
Nous apportons notre soutien à Laetitia Suchecki, candidate Front de Gauche dans la 9èmecirconscription des Français établis hors de France (Afrique du Nord et Afrique de l’Ouest), et à Jean Malik Lemaire son suppléant .
Le Front de Gauche  bien ancré dans la société française est aujourd’hui la force montante de la gauche, il fait écho aux nombreuses luttes qui se déroulent en Europe et partout dans le monde.
Son programme « l’Humain d’abord ! » porte de grandes ambitions, il permet à la France d’être réellement la patrie des « droits de l’Homme ».
Ce programme cohérent ouvre le chemin pour résister aux marchés financiers qui ne servent que les  intérêts d’une minorité de profiteurs.
Avec le Front de Gauche arrive la possibilité d’une politique alternative progressiste. Une dynamique est en marche pour mettre en œuvre des politiques de coopération de co-développement tournant le dos aux politiques de prédation des richesses que les peuples et leurs pays ont subies.
Une  politique de développement économique foncièrement respectueuse des besoins humains, déterminée  à l’inscrire dans un projet global de planification écologique, soucieuse par-dessus tout de la conduire  dans une logique de paix, voilà ce que propose le Front de Gauche, voilà ce qui suscite intérêt et engagement.
Nous avons besoin de nombreux élus Front de Gauche à l’Assemblée Nationale pour être ensemble les acteurs de cette politique et en devenir les co-inventeurs !

POUR SIGNER, C'EST ICI

(un mail de confirmation vous est envoyé sur votre messagerie)



mercredi 9 mai 2012

LETTRE DE LAETITIA SUCHECKI



Images intégrées 1

Concrétiser l'espoir à gauche


Avec l’élection de François Hollande à la Présidence de la République le 6 mai 2012, une première étape vient d’être franchie. Il est aujourd’hui nécessaire de conforter la victoire de la gauche et de lui donner les moyens de répondre sans tarder et sans faillir aux urgences sociales, en prenant des mesures immédiates pour les salaires, pour la relance du pouvoir d’achat, pour la lutte contre le chômage, la renégociation d’un traité européen, et la fin de la politique guerrière de la France à l’étranger. C’est dans cet objectif que je m’engage avec le Front de Gauche dans la campagne des législatives de juin 2012, avec Jean-Malik Lemaire mon suppléant.
 
Les femmes et les hommes, qui se sont rassemblés à gauche pour infliger à N. Sarkozy et à la droite la défaite qu’ils méritaient, ont ouvert un nouvel espoir en France, en Europe et dans le monde entier. Les Françaises et Français de la 9ème circonscription des Français établis hors de France ont exprimé à 61,68% leur volonté de « dégager » Sarkozy.
 
Les électrices et les électeurs du Front de gauche ont apporté une contribution décisive à ce résultat du 2nd tour et nous les en remercions. Sans la campagne mobilisatrice menée par le Front de Gauche, avec son candidat Jean-Luc Mélenchon, sans les propositions de notre programme L’Humain d’abord, sans notre engagement déterminé entre les deux tours, la victoire n’aurait pas été possible. Une page est désormais tournée. Une autre commence pleine d’exigences.
 
Cela est possible. Ce même 6 mai, le peuple grec a de son côté mis en minorité les politiques d'austérité imposées par l'Union européenne en choisissant à plus de 30% des députés de l’autre gauche pour affronter la finance et sa logique désastreuse. En devenant la première force politique de gauche, la coalition Syriza, partenaire du Front de gauche depuis plusieurs années, met à l'ordre du jour en Europe l'invention d’une gauche nouvelle qui tire les enseignements de l’échec des politiques libérales et sociales-démocrates. D’autres pays peuvent suivre cette voie et converger pour donner à l’Europe une orientation progressiste, sociale et démocratique.
 
Pour conforter la victoire de la gauche, la France a pareillement besoin de porter à l’Assemblée Nationale une majorité de députés fermes et résolus pour abroger sans tergiverser les lois Sarkozy, pour en élaborer et en voter de nouvelles qui engagent notre pays dans une politique de gauche audacieuse et novatrice qui s’en prenne à la dictature des marchés financiers fauteurs de crise, et qui ouvrent la voie d’une autre mondialisation, respectueuse des peuples et de notre planète. C’est la condition pour ne pas décevoir les espoirs et pour combattre les errances de ceux qui se laissent séduire par les sirènes démagogiques de l’extrême droite.
 
C’est dans cet objectif que le Front de Gauche s’engage dans la campagne des législatives de juin 2012. Avec Jean Malik Lemaire mon suppléant, nous poursuivons notre démarche de rassemblement des électrices et électeurs de la 9ème circonscription qui veulent que cela change pour de bon.
 
 
Tout commence à présent pour la gauche. Pour réussir, plus que jamais, place au peuple !
 
 
Le 07/05/2012
Laetitia SUCHECKI, candidate du Front de Gauche
aux élections législatives dans la 9ème circonscription,
Jean Malik LEMAIRE, son suppléant.
 



Pour retrouver le Front de Gauche en campagne dans la 9ème circonscription des Français établis hors de France et les interventions de Laetitia Suchecki : Accéder au lien : http://laetitia-suchecki.fr

Retrouvez la campagne de Laetitia SUCHECKI, candidate du Front de Gauche dans la 9ème circonscription des Français établis hors de France surFacebook et sur Twitter

lundi 7 mai 2012


Veinards, le premier mai du renouveau, ensoleillé, à Paris, avec Mélenchon, à respirer le bon air des luttes joyeuses et fraternelles !!!!!! 

samedi 5 mai 2012

LA FIN DES CDI

La fin des CDI : 

Premier objectif du plan de bataille des financiers pour l’après élections

Une note interne du Crédit agricole révèle, Nicolas Doisy confirme :
1)    F. Hollande dit vouloir renégocier le dernier traité européen : il devra « rouler », tromper les électeurs français, il devra les convaincre que la flexibilité est nécessaire, qu’il faut en finir avec les CDI. On n’accordera que des concessions de façade. C’est du théâtre.
2)    Sinon, le marché ne laissera pas passer.
3)    Seul danger : Mélenchon et l’irruption du peuple sur la scène de l’histoire. Si avec le peuple grec on a déjà l’impression que la zone euro va exploser, « je vous laisse imaginer pour la France ! »

Conclusion…

RÉVOLUTION CITOYENNE AUX URNES PUIS DANS LA RUE ET SUR LES RÉSEAUX SOCIAUX !



La video:



Pour lire le document écrit, traduit en français, c'est ICI  


Pour écouter l'émission que lui consacre Daniel Mermet dans Là-bas si j'y suis : "Les financiers au coin du bois" ( 11 avril 2012), c'est ICI




jeudi 26 avril 2012

ADFE - Français du Monde

Un article lu dans Challenge du 26 avril

Entre l'entretien accordé à Français du Monde (ADFE Maroc) et la date de parution, Laetitia Suchecki a été désignée pour être la candidate du FdG et Jean-Malik Lemaire son représentant. 

Français du Monde-Maroc (Association Démocratique des Français de l'Etranger) est la seule association de gauche qui représente les Français installés au Maroc.
Leur Revue Français du Maroc est distribuée gracieusement à tous les Français du Maroc. Elle repose entièrement sur l'implication des militants de l'association.


Leurs seuls revenus, nos cotisations et les manifestations qu'ils animent : loto, dîner dansant...

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Elections françaises 

Comment votent les Français du Maroc ?

Publié le 12-04-12 12:04
Les Français du Maroc s’apprêtent à voter dans les six consulats de France. L’association des Français du Monde se mobilise contre l’abstention qui s’élevait au Maroc à 41% lors de la dernière présidentielle de 2007, très supérieure à celle constatée en Métropole qui tournait autour des 16%.
Le premier tour aura lieu ce dimanche 22 avril  Le premier tour aura lieu ce dimanche 22 avril DR
 
J-2 pour le premier tour des élections présidentielles françaises pour lesquelles dix candidats s’affrontent dans la course à l’Elysée. Les six consulats généraux de France sont en effervescence et s’apprêtent à accueillir les électeurs français installés au Maroc. En 2011, le nombre de Français immatriculés dans le Royaume a augmenté de 6% pour s’élever à 44 430 (enfants compris).
Dans les consulats, on a établi les listes électorales qui se répartissent entre Casablanca (13 828 électeurs), Rabat (6310), Marrakech (4975), Agadir (2437), Fès (1920) et enfin Tanger (1550). Ce qui représente 31020 voix non négligeables que se disputent les candidats en lice. « Cette année électorale est doublement importante, explique Khadija Belbachir, présidente de lAssociation Démocratique des Français à l’Etranger, parce qu’outre l’échéance présidentielle du 22 avril et du 6 mai, il y a les législatives dans la foulée, les 3 et 17 juin –qui sont organisées à l’étranger une semaine en avance par rapport à la France-, et qui vont permettre  pour la première fois aux Français résidant à l’étranger d’être représentés à l’Assemblée  Nationale».
Le Maroc relève de la neuvième circonscription pour ces élections qui en ont établi onze dans le monde. « Les législatives sont un enjeu essentiel, ajoute Mme Belbachir (qui espère un taux de participation important) puisque nos revendications seront enfin portées et défendues par les députés des Français de l’étranger. Nous pourrons faire entendre nos voix au cœur du débat politique sur nos préoccupations quotidiennes qui vont des frais de scolarité à la protection sociale, en passant par les allocations de solidarité, les problèmes liés à la fiscalité ou encore les retraites. »
Pour les 31020 électeurs potentiels Français du Maroc, il existe deux possibilités pour le vote des présidentielles : se rendre au consulat et voter en personne ou un vote par procuration avec un mandataire inscrit sur la même liste électorale consulaire. Pour les législatives, il existe quatre possibilités : comme pour les élections présidentielles, le vote en personne et le vote par procuration, mais aussi un vote par correspondance sous pli fermé si la demande a été faite auprès du consulat avant le 29 février de cette année, et le vote par Internet à condition d’avoir indiqué une adresse e-mail lors de l’inscription sur la liste électorale. Laquelle adresse doit être communiquée avant le 6 mai.
L’accès au débat politique des Français du Maroc est encore sujet à caution puisque, sur les dix candidats de la présidentielle, trois seulement sont officiellement représentés : l’UMP avec M. Martinet, délégué national, le Parti Socialiste avec Nicole Le Floch à Casablanca et Christine Léger à Rabat, et le Front de gauche qui vient tout juste de nommer un représentant à Casablanca en la personne de Jean-Malik Lemaire, professeur de philosophie au lycée Lyautey.
A noter que pour relayer les programmes des différents candidats à la présidentielle auprès des Français de l’étranger, il y a une seule émission à l’affiche des médias : «France 2012 » sur TV5 Monde, dans laquelle Philippe Dessaint reçoit les candidats ou leur représentant chaque mercredi en première partie de soirée au cours de laquelle ils répondent aux questions de politique internationale notamment, et aux préoccupations des Français qui vivent hors de l’Hexagone. Aucun sondage ne permet de comptabiliser les intentions de vote des Français au Maroc. On se souvient qu’en 2007 lors de la dernière élection présidentielle, le taux de participation a été de 59%, donnant vainqueur l’actuel candidat sortant Nicolas Sarkozy avec 51,9% des voix contre 48,1% à  Ségolène Royal.
Michel Roussel

Pour consulter l'article en ligne, cliquer ICI 

LAETITIA SUCHECKI AU MAROC


Jeudi 12 avril : Rencontres avec la presse
D’abord qu’est ce que le Front de gauche ?
C’est un regroupement de sept partis de gauche qui se situent à gauche de la gauche. Ce rassemblement réunit le Parti communiste français (PCF), le Parti de Gauche (PG), la Gauche Unitaire, République et Socialisme, Convergences et Alternative, le Parti Communiste des ouvriers de France et la Fédération pour une alternative sociale et écologique (FASE). Il regroupe également de nombreuses personnes qui n'ont pas de carte dans un parti politique et qui se reconnaissent dans la démarche du Front de gauch
e.
(cliquer ICI pour lire la suite de l'article) 

Vendredi 13 avril, 10h : Entretien avec Monsieur Pouille, Ministre Conseiller de l'Ambassade  de France à Rabat. 

Samedi 14 avril, 14h : Débat public à Casa
Ecoute collective du meeting à Marseille de Jean Luc Mélenchon, suivi d’un débat public avec notre candidate Laetitia Suchecki et son suppléant Jean-Malik Lemaire. Protection sociale, retraite, éducation, sécurité, intégration, coopération entre les 2 rives de la Méditerranée, etc., autant de thématiques où les propositions du Front de gauche à destination des Français établis à l’étranger ont pu être discutées. 

Lundi 16 avril, 14h : Débat en direct sur Luxe-Radio
Avec une représentante du PS, la candidate de l'UMP aux élections législatives de la 9ème circonscription et Gabriel Banon économiste expert en géopolitique.: Présidentielle françaises: la lutte des places fait rage.          
Cliquer pour REECOUTER 

Lundi 16 avril, 17h : Entretien avec Monsieur Ortholan, Consul  Général de France à Rabat et Madame Agnès Marion. 

Mardi 17 avril : rencontres avec la presse
  
  Entretien avec Laetitia Suchecki, 
  en campagne  pour le  Font de Gauche.

"L’islam, comme toutes les religions, a sa place en France".  "Stigmatiser la communauté musulmane est inadmissible".
"Des bourses pour alléger la facture de la scolarité". 
(cliquer ICI pour lire l'article)






mercredi 25 avril 2012

BATTRE LA DROITE



2ème tour de l’élection présidentielle : 
Battre la droite
et renforcer une alternative à gauche

Les résultats du 1er tour de l’élection présidentielle en France montrent que les Françaises et Français sont aujourd’hui déterminés à tourner la page des années Sarkozy et à battre la droite. Le total des voix des droites, dans toutes ses composantes, recule.

Cependant, comme on pouvait le redouter dans l’actuel contexte de crise que les Français subissent, le score de l’extrême-droite est élevé. Nicolas Sarkozy et l’UMP portent une lourde responsabilité dans la banalisation des idées nauséabondes du Front National. En reprenant à son compte des pans entiers de son programme (stigmatisation des immigrés, de l’islam, de la double nationalité, etc.), Nicolas Sarkozy a mené une double campagne : la sienne et celle de Marine Le Pen.
Ce score montre à quel point le combat du Front de Gauche contre les idées xénophobes et racistes du Front National a été nécessaire. Au sein du Front de Gauche, nous sommes fiers du travail que nous avons entamé, pour dénoncer, critiquer, démythifier et faire reculer les idées profondément inégalitaires et antisociales du Front National. Face à Marine Le Pen, nous n’avons rien lâché et nous ne lâcherons rien !

Ce 22 avril 2012, avec son candidat Jean-Luc Mélenchon, le Front de Gauche a réalisé un score important : 11,1 % au niveau national, 8,31 % parmi les Français établis hors de France, 11,29 % dans la 9ème circonscription.
Le large rassemblement que nous avons construit ensemble a permis de remettre le peuple au coeur de l’agenda politique. La dynamique créée par le Front de Gauche ouvre aujourd’hui un nouveau champ des possibles pour construire l’avenir de notre pays avec une politique de gauche audacieuse pour sortir la France de la crise et de la dictature des marchés financiers et construire une autre mondialisation, respectueuse des peuples et de notre planète.

Pour donner à ce combat une ampleur nouvelle nous vous appelons à tout mettre en oeuvre pour battre la droite et Nicolas Sarkozy le 6 mai prochain et à utiliser dans ce but le seul bulletin de vote s’y opposant, celui de François Hollande.
La victoire de la gauche est à portée de main. Elle devra être complète à l'issue des élections législatives avec la confirmation de la place du Front de Gauche dans la vie politique française. 

La France aura besoin de députés fermes et résolus, pour abroger sans tergiverser les lois Sarkozy, pour en élaborer et en voter de nouvelles qui permettent de réelles avancées sociales et politiques, et pour porter à l'Assemblée Nationale le mouvement de mobilisation citoyenne qui a surgi au cours de cette campagne électorale.
Nous invitons nos concitoyennes et concitoyens de la 9ème circonscription à continuer d’investir le Front de Gauche pour débattre, agir et promouvoir les vrais changements auxquels nous aspirons toutes et tous.

Le 23/04/2012
Laetitia SUCHECKI, candidate du Front de Gauche
aux élections législatives dans la 9ème circonscription,
Jean Malik LEMAIRE, son suppléant.

vendredi 13 avril 2012

APPEL DES FRANÇAIS DE L’ÉTRANGER POUR LE FRONT DE GAUCHE


Nous, citoyens français résidant à l’étranger, souhaitons plus que jamais être acteurs de la vie politique française. Dans les pays où nous vivons, travaillons, créons, agissons, nous faisons vivre le rayonnement de la France au cœur de l’Europe et du Monde. Nos ancrages locaux nous accordent une singularité qui engage notre responsabilité. Aucune frontière ne peut briser notre attachement aux valeurs de la République française. Témoins de la politique étrangère de la France, nous lançons un appel solennel pour qu’après cinq années de gâchis et de renoncements, la France se reconstruise en la patrie des droits de l’Homme dont nous nous revendiquons et dont nous serons les meilleurs ambassadeurs.

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Nous donner les moyens d’exercer notre citoyenneté hors des frontières. Ancrés dans une réalité locale avec ses exigences spécifiques, nous restons des citoyens français et nous souhaitons bénéficier de services publics français de qualité, performants et accessibles. La disparition de nombreuses représentations consulaires nous afflige. Certains d’entre nous doivent parcourir des distances toujours plus grandes pour accéder aux services de l’Etat. Cette dégradation continue des services publics français doit cesser. Nous demandons que des moyens adaptés aux besoins réels soient alloués à la représentation consulaire de la France dans le monde entier. Ceux d’entre nous qui paient moins d’impôts localement qu’ils n’en paieraient en France souhaitent y contribuer en versant à la France un impôt différentiel, soit la différence entre ce qu’ils auraient versé à la France et ce qu’ils paient localement. Cet impôt différentiel devra être négocié bilatéralement en tenant compte des différents systèmes d´impositions locaux.

Nous souhaitons que nos enfants aient accès à une éducation de qualité en langue française. Le réseau des collèges et lycées français, gérés par l’Agence pour l’Enseignement Français à l’Etranger (AEFE), unique au monde, doit être étendu, modernisé et ouvert. Il faut immédiatement revenir sur la démagogie de la fausse gratuité de l’enseignement mis en place par Nicolas Sarkozy. Nous demandons le développement d’un système de bourses capable de corriger les inégalités de l’accès aux établissements scolaires de l’AEFE, d’assurer à chaque enfant français qui le souhaite, le bénéfice d’un enseignement de qualité. La solidarité nationale à cet effet, doit s’exprimer à travers une participation financière juste et transparente. L’enseignement à distance, le CNED au budget abondé, viendra compléter ce dispositif afin d’assurer aux élèves éloignés des établissements scolaires de l’AEFE un enseignement de qualité. Le programme Français Langue Maternelle – FLAM devra lui aussi être modernisé et étendu.

Nous demandons aussi à être mieux protégés quand nous nous retrouvons en situation de précarité. Le rapatriement ne peut plus être la seule solution proposée par les consulats aux Français confrontés à des difficultés insurmontables dans leur pays de résidence. 
Les associations ne peuvent pas être les seules à s’occuper de l’assistance sociale nécessaire : la « bienfaisance » et la « charité » ne peuvent suppléer la justice ! Nous souhaitons l’existence d’une cellule d’assistance sociale dotée de moyens adaptée dans tous les consulats par le Ministère des Affaires Étrangères. Financée par l’impôt, elle devra fournir une assistance efficace aux personnes et aux familles en réelle difficulté.
Nous voulons bénéficier simplement de la sécurité sociale. La mission, le financement et le fonctionnement de la Caisse des Français de l’Étranger doivent être perfectionnés. Les Français de l’étranger les plus démunis doivent être mieux protégés suivant le modèle de la CMU en France. De même, nous militons pour la mise en place de partenariats visant à étendre la sécurité-sociale-professionnelle aux citoyens français résidant hors d’Europe de façon à ce qu’ils puissent chercher un nouvel emploi localement dans des conditions dignes.
Nous réclamons aussi la reconnaissance des mariages et des adoptions contractés à l’étranger lors de notre retour en France. Il n’est pas acceptable que de façon discriminatoire des couples homosexuels se voient nier la reconnaissance de leur union et des droits de leurs enfants qu’ils soient ou non adoptés. Nous demandons, également, une simplification d’obtention de visa pour nos conjoints.
Nous voulons être les ambassadeurs d’une France écoutée et aimée car exemplaire et créative !
En tant que Français établis au-delà de ses frontières, nous sommes attachés au rayonnement d’une francophonie vivante, de qualité et accessible, disposant de moyens financiers, technologiques et humains à la hauteur de ses ambitions. Les coupes budgétaires mises en place par le gouvernement au fil des ans fragilisent les Alliances françaises et les Instituts français. Elles constituent un véritable renoncement, un gâchis lamentable et traduisent une politique à courte vue alors que la mondialisation exige une francophonie élargie et dynamique. La privatisation des organismes en charge de celle-ci entraîne une dégradation dramatique qui fait craindre le pire dans un avenir proche si rien n’est fait pour y mettre un terme. Nous voulons que l’on revienne sur ces coupes budgétaires et qu’on donne à la francophonie les moyens de la qualité et de l’accessibilité.
Les entreprises françaises et plus largement européennes généralisent la précarité des emplois avec le recours aux emplois locaux accompagnés de salaires toujours plus bas. Cette politique affecte aussi les ambassades et les consulats français qui emploient chauffeurs, agents d’entretien, standardistes pour des salaires minimaux. Les services économiques soutiennent quant à eux les contrats de grandes multinationales en dépit de l’intérêt des travailleurs locaux et de l’environnement. Nos services de coopération ne jouent pas pleinement leur rôle. Nous souhaitons une autre politique étrangère de la France, basée sur la solidarité et le respect des peuples et de l’environnement, dont nous puissions nous sentir fiers dans nos pays de résidence.
Enfin, nous dénonçons la politique migratoire mise en œuvre par la France en application de l’acquis Schengen. Les conditions d’octroi des visas les rendent inaccessibles aux moins riches, y compris les visas de court séjour, ou les visas de transit aéroportuaire dont nous dénonçons l’existence même. Ce sont nos familles, nos amis à qui on refuse la découverte de la France au prétexte qu’ils sont trop pauvres. Nous voulons une autre politique migratoire pour la France.
Pour toutes ces raisons et bien d’autres encore, nous, Français de l’étranger, appelons à voter Front de Gauche car nous savons que seul le Front de Gauche est volontaire pour mettre en place un changement social, environnemental et économique radical pour soutenir et accompagner les français de l’étranger, et pour une politique étrangère de la France qui œuvre pour le développement de la démocratie dans le Monde. C’est tout le sens du programme l’Humain d’abord que nous voulons nous voir appliqué à nous aussi, à l’étranger.

La campagne Front de Gauche chez les Français de l’étranger est en marche ! Pour s’inscrire dès maintenant dans la campagne, envoyer un mail à placeaupeuple.fe@gmail.com !